Le Premier ministre (au centre) a dit attendre beaucoup des recommandations du salon. (Ph: Dr)
Pendant trois jours, la Côte d’Ivoire, à travers le ministère des Ressources animales et halieutiques (Mirah) et les départements ministériels frères de la Coopération halieutique entre les États africains riverains de l’Océan Atlantique (Comhafat) réfléchissent à des solutions durables dans le secteur de la pêche et de l’aquaculture.
À l’ouverture des travaux, le Premier ministre, Robert Beugré Mambé, a indiqué que le gouvernement ivoirien attend beaucoup des travaux des ministres en charge des ressources halieutiques et des experts pour améliorer sa politique de développement du secteur, et sa place dans son plan de souveraineté alimentaire. Le chef du gouvernement a souhaité davantage plus de discussions sur plusieurs défis dont la protection des espaces maritimes des pays contre les menaces terroristes et autres pêcheurs illégaux.
Beugré Mambé a aussi souhaité des solutions pour le respect des mailles réglementaires des filets, la maîtrise des biotechnologies et comment assurer la relève au niveau des acteurs. Parce qu’a-t-il souligné, c’est un secteur porteur auquel les jeunes doivent s’intéresser.
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