A l’en croire, ce réseau est d’abord une réponse à une expérience personnelle : « celle de la solitude de la dirigeante associative face aux défis de gestion, de financement, de gouvernance ou encore de santé mentale ». La fondatrice d’une organisation née d’une histoire intime, a dû apprendre elle-même « sur le tas », au fil des épreuves, avant de s’assumer pleinement.
« Après une période difficile, j’ai compris que ce dont j’avais besoin, c’était d’un espace de partage, d’apprentissage collectif et de solidarité. Et je n’étais pas seule. Beaucoup de femmes comme moi éprouvent ce même besoin », détaille-t-elle.
Cette conviction l’a conduite à initier ce réseau et qui a plusieurs missions. A savoir : créer l’égalité dans le secteur de l’Ess, renforcer les compétences et les soft skills des dirigeantes, accroître l’impact social et environnemental des projets, pérenniser les structures à but non lucratif et contribuer à l’atteinte des Objectifs de développement durable (Odd).
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