Les responsables rappellent que grâce à l’engagement et au professionnalisme des équipes impliquées, la Côte d’Ivoire s’est hissée parmi les meilleurs pays organisateurs du Hadj en Afrique de l’Ouest ces dernières années. Ils estiment que de telles accusations jettent injustement le discrédit sur les efforts fournis pour garantir un encadrement optimal des pèlerins.
Soucieuse d’améliorer constamment le dispositif mis en place, la Direction Générale des Cultes encourage toute personne victime ou témoin de pratiques frauduleuses à saisir les autorités compétentes ou à signaler les faits via le numéro vert 100, mis à disposition pour recueillir les plaintes et témoignages.
Par ailleurs, le Directeur Général des Cultes appelle les populations à faire preuve de vigilance et à dénoncer tout individu s’adonnant à des actes contraires à la morale et à la loi. Il met également en garde les auteurs de rumeurs non fondées, rappelant que la diffusion d’informations diffamatoires sans preuve expose à des poursuites judiciaires.
Cette sortie des autorités en charge du Hadj vise à préserver la crédibilité du processus et à garantir aux futurs pèlerins une organisation digne et transparente.
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